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Dans le choix de ses artistes, la Librairie Rabelais, plutôt que de privilégier une ligne ou une école, a fait le pari de la passion et de l'authenticité. Les peintres, sculpteurs, photographes, céramistes, poètes qu'elle présente ont tous un parcours riche de nombreuses années de pratique. Une existence articulée autour de leur recherche d'une possibilité de vie à travers l'art.

Né à Casablanca en 1953, Philippe Bresson est attaché à la Côte d’Azur depuis 1959.

Il est élève de l’École Freinet, lieu éducatif unique qui a joué un rôle incontestable dans sa formation. Il y acquiert un goût prononcé pour le travail des matériaux et la création de volumes mais aussi une curiosité sans bornes et une perméabilité à ce qui nous entoure. Philippe Bresson développe un talent reconnu internationalement pour une ébénisterie d’art exceptionnelle. En 2012, son atelier acquiert le label Entreprise du Patrimoine Vivant.

Convaincu que chaque individu a le devoir de s’aventurer vers de nouveaux territoires, Philippe Bresson délaisse le bois pour explorer de nouveaux matériaux et leurs multiples possibilités de torsion, compression, assemblage et sublimation.

Métal, cartons d’emballage, peintures de carrosserie aux couleurs saturées, coulées de verre ou lignes de néons… Philippe Bresson travaille par séquences ces matériaux, dans une élaboration patiente et une tendresse profonde pour ces rebuts industriels. Ces séries, rassemblant plusieurs dizaines de pièces chacune, jouent des volumes, des vibrations de couleurs et de reliefs dans un savant équilibre de force et de sensibilité.

Après un passage à Paris de 4 ans (1985-1989) où elle expose principalement ses peintures et sculptures, elle commence vraiment à s’intéresser à la mosaïque de marbre quand elle arrive dans les Alpes-Maritimes. Installée dans l’arrière pays niçois (Châteauneuf-Villevieille), elle récupère les déchets d’une marbrerie dans un processus de création. Elle apprend la technique de la mosaïque Antique en Tunisie avant de se perfectionner en France auprès d’un compagnon du devoir. Une technique exigeante et plutôt physique. Il faut polir le marbre, le découper en lamelles avant de le mettre en morceau à la marteline. Ces petites pièces appelées tesselles sont ensuite collées, suivant un agencement que l’artiste fait évoluer au fur et à mesure pour arriver au résultat qui lui plaît.

Koba réalise des portraits étonnants. Des visages composés d’éclats de marbres, fixés mais pas figés.L’artiste réalise également des peintures avec comme support le bois strié : support sur lequel le marbre lui-même a été découpé produisant un étonnante toile sur laquelle elle peint.
Ses peintures, sculptures et mosaïques sont très appréciées des collectionneurs en France et à l’étranger : créations d’oeuvres originales ou réalisations sur commande.

Par ailleurs, elle a officié pendant plus de 15 ans dans la restauration de mosaïques, comme celle du Musée Océanographique de Monaco. L’artiste a également effectué diverses démonstrations de mosaïque méthodes antiques, comme au Musée d’Archéologie de Cimiez.

Son atelier est ouvert à tout ceux désirant effectuer un stage d’initiation à la mosaïque, qu’il s’agisse d’une approche décorative ou plus artistique.

ANDRÉ LAURENTI expose depuis 1984 une peinture contemporaine universelle et visionnaire.

Sa pensée nous restitue par la couleur, les paysages et les êtres qui y vivaient.

Il utilise les fluides et les matières, ocres et médiums d’huile. La vie de ses toiles nous  évoque les couleurs secrètes et la diversité du monde méditerranéen.

Lors de ses voyages, A.L. s’attache aux mémoires des lieux :

Les Terres, porteuses d’énergies et d’histoire, amènent les contemplations du peintre où parfois s’inscrivent  des figures symbolisées.

Les Eaux, la Lagune  distillent des lumières et des êtres.

Des pièces en verre soufflé réalisées à Murano-Venezia avec le Maître Verrier Andrea Zilio ...

Une Résonance Eau et Feu retrouvée.

Bruno Mendonça est né à Saint-Omer le 29 novembre 1953.

Installé à Nice dès 1961, il découvre alors "la colossale bibliothèque de sa grand-mère". Les livres ont d'abordune vocation fonctionnelle et lui servent d'escabeau mais c'est aussi tout un monde qui se présente à lui :l'Illustration, la Revue des deux Mondes, les Jules Verne de la collection Hetzel... C'est ensuite l'époque du lycée, l'entrée à Sciences Po... Un univers de connaissance qu'il quitte d'abord monter un groupe de musique puis pour devenir plasticien.

Tout va très vite pour Bruno Mendonça. Tout juste âgé de 20 ans, il expose Galerie Assotor en 1973. Trois ans plus tard, ce les premières performances... En 1981, il crée sa propre maison d'édition Utopie et réalise de nombreux ouvrages d'artistes, uniques ou en très petite série.

Paul Valéry pensait que le plus profond est la peau ; Patrick Obeika partage probablement cette perception avec Valéry.

Ses toiles suscitent le sentiment d’une matière qui garde la mémoire de tous les accidents, de toute éraflure, de toute blessure jusqu’à sembler la peau scarifiée d’un corps qui serait la substance même de la peinture. Son travail plastique ne relève pas de la représentation mais de l’incarnation. Fouillant la chair de la toile, pénétrant les couches de la matière, il se livre à un corps à corps avec le matériau où la chair sert de substance à l’œuvre et où l’œuvre se fait chair. Sa peinture est une pratique physique, épuisante, sensuelle où il inscrit, fouille, entaille, effectue des arrachements recouvre … où il caresse la matière, la terre. « Ce qui m’intéresse c’est l’épreuve du corps et par là son inscription irréfutable dans la vie » (Patrick Obeika). Peinture écorchée, les toiles de Patrick Obeika avoue une réalité d’humeurs et de sucs, d’odeurs, de larmes. On ne peut rester indifférent à cette confrontation, à cette mise à nu de l’artiste, à ces autoportraits. Chacune de ces toiles est en effet revendiquée par l’artiste comme un autoportrait. L’art a souvent cette force dérangeante, celle de nous faire voir pour la première fois l’autre.

L'Oeuvre en gestation ne se nourrit pas seulement de la chair de l’artiste mais aussi de la fermentation d’un compost de plâtre et pigment, d’une décomposition du monde, d’un pourrissement du temps.

Paul Valéry pensait que le plus profond est la peau ; Patrick Obeika partage probablement cette perception avec Valéry.

Ses toiles suscitent le sentiment d’une matière qui garde la mémoire de tous les accidents, de toute éraflure, de toute blessure jusqu’à sembler la peau scarifiée d’un corps qui serait la substance même de la peinture. Son travail plastique ne relève pas de la représentation mais de l’incarnation. Fouillant la chair de la toile, pénétrant les couches de la matière, il se livre à un corps à corps avec le matériau où la chair sert de substance à l’œuvre et où l’œuvre se fait chair. Sa peinture est une pratique physique, épuisante, sensuelle où il inscrit, fouille, entaille, effectue des arrachements recouvre … où il caresse la matière, la terre. « Ce qui m’intéresse c’est l’épreuve du corps et par là son inscription irréfutable dans la vie » (Patrick Obeika). Peinture écorchée, les toiles de Patrick Obeika avoue une réalité d’humeurs et de sucs, d’odeurs, de larmes. On ne peut rester indifférent à cette confrontation, à cette mise à nu de l’artiste, à ces autoportraits. Chacune de ces toiles est en effet revendiquée par l’artiste comme un autoportrait. L’art a souvent cette force dérangeante, celle de nous faire voir pour la première fois l’autre.

L'Oeuvre en gestation ne se nourrit pas seulement de la chair de l’artiste mais aussi de la fermentation d’un compost de plâtre et pigment, d’une décomposition du monde, d’un pourrissement du temps.

Paul Valéry pensait que le plus profond est la peau ; Patrick Obeika partage probablement cette perception avec Valéry.

Ses toiles suscitent le sentiment d’une matière qui garde la mémoire de tous les accidents, de toute éraflure, de toute blessure jusqu’à sembler la peau scarifiée d’un corps qui serait la substance même de la peinture. Son travail plastique ne relève pas de la représentation mais de l’incarnation. Fouillant la chair de la toile, pénétrant les couches de la matière, il se livre à un corps à corps avec le matériau où la chair sert de substance à l’œuvre et où l’œuvre se fait chair. Sa peinture est une pratique physique, épuisante, sensuelle où il inscrit, fouille, entaille, effectue des arrachements recouvre … où il caresse la matière, la terre. « Ce qui m’intéresse c’est l’épreuve du corps et par là son inscription irréfutable dans la vie » (Patrick Obeika). Peinture écorchée, les toiles de Patrick Obeika avoue une réalité d’humeurs et de sucs, d’odeurs, de larmes. On ne peut rester indifférent à cette confrontation, à cette mise à nu de l’artiste, à ces autoportraits. Chacune de ces toiles est en effet revendiquée par l’artiste comme un autoportrait. L’art a souvent cette force dérangeante, celle de nous faire voir pour la première fois l’autre.

L'Oeuvre en gestation ne se nourrit pas seulement de la chair de l’artiste mais aussi de la fermentation d’un compost de plâtre et pigment, d’une décomposition du monde, d’un pourrissement du temps.

Paul Valéry pensait que le plus profond est la peau ; Patrick Obeika partage probablement cette perception avec Valéry.

Ses toiles suscitent le sentiment d’une matière qui garde la mémoire de tous les accidents, de toute éraflure, de toute blessure jusqu’à sembler la peau scarifiée d’un corps qui serait la substance même de la peinture. Son travail plastique ne relève pas de la représentation mais de l’incarnation. Fouillant la chair de la toile, pénétrant les couches de la matière, il se livre à un corps à corps avec le matériau où la chair sert de substance à l’œuvre et où l’œuvre se fait chair. Sa peinture est une pratique physique, épuisante, sensuelle où il inscrit, fouille, entaille, effectue des arrachements recouvre … où il caresse la matière, la terre. « Ce qui m’intéresse c’est l’épreuve du corps et par là son inscription irréfutable dans la vie » (Patrick Obeika). Peinture écorchée, les toiles de Patrick Obeika avoue une réalité d’humeurs et de sucs, d’odeurs, de larmes. On ne peut rester indifférent à cette confrontation, à cette mise à nu de l’artiste, à ces autoportraits. Chacune de ces toiles est en effet revendiquée par l’artiste comme un autoportrait. L’art a souvent cette force dérangeante, celle de nous faire voir pour la première fois l’autre.

L'Oeuvre en gestation ne se nourrit pas seulement de la chair de l’artiste mais aussi de la fermentation d’un compost de plâtre et pigment, d’une décomposition du monde, d’un pourrissement du temps.

Paul Valéry pensait que le plus profond est la peau ; Patrick Obeika partage probablement cette perception avec Valéry.

Ses toiles suscitent le sentiment d’une matière qui garde la mémoire de tous les accidents, de toute éraflure, de toute blessure jusqu’à sembler la peau scarifiée d’un corps qui serait la substance même de la peinture. Son travail plastique ne relève pas de la représentation mais de l’incarnation. Fouillant la chair de la toile, pénétrant les couches de la matière, il se livre à un corps à corps avec le matériau où la chair sert de substance à l’œuvre et où l’œuvre se fait chair. Sa peinture est une pratique physique, épuisante, sensuelle où il inscrit, fouille, entaille, effectue des arrachements recouvre … où il caresse la matière, la terre. « Ce qui m’intéresse c’est l’épreuve du corps et par là son inscription irréfutable dans la vie » (Patrick Obeika). Peinture écorchée, les toiles de Patrick Obeika avoue une réalité d’humeurs et de sucs, d’odeurs, de larmes. On ne peut rester indifférent à cette confrontation, à cette mise à nu de l’artiste, à ces autoportraits. Chacune de ces toiles est en effet revendiquée par l’artiste comme un autoportrait. L’art a souvent cette force dérangeante, celle de nous faire voir pour la première fois l’autre.

L'Oeuvre en gestation ne se nourrit pas seulement de la chair de l’artiste mais aussi de la fermentation d’un compost de plâtre et pigment, d’une décomposition du monde, d’un pourrissement du temps.

Artiste photographe à Nice.

C’est de l’eau de mer et des informations relatives à l’environnement du prélèvement – son, météo, nom du lieu – que je tire les principales matières nécessaires à la construction de mon œuvre.

De retour dans mon atelier, je réunis les conditions pour que l’œuvre se créée par elle-même.

La matière est prête. Je l’accompagne. J’assiste et l’assiste dans sa propre révélation.

De l’informe à la forme, de l’invisible au visible, de l’imperceptible au perceptible.

En quête d’intériorité, elle recherche la beauté universelle et travaille sur la symbolique d'où ses œuvres originales sur la période Matérique et la période Guerrier et plus récemment celle de l’eau « origine de la vie ».

Ses tableaux symboliques suggèrent une sensualité communiquée aussi bien par la matière picturale que par la couleur. 

Jean Villeri est un peintre français d’origine italienne, né en l896, mort en l982. 

Sensible aux influences impressionnistes et expressionnistes, il aborde le cubisme et se situe très vite aux avant-gardes des grands mouvements de l’Abstaction et de la Nouvelle Ecole de Paris. A la cassure du siècle, il trouve sa voie personnelle dans ses recherches de matières. 

Artiste inclassable, encore trop méconnu, son œuvre importante et riche qu’il qualifie lui-même de« peinture sauvage" lui a valu l’amitié et la complicité des poètes et créateurs parmi lesquels René Char et Jean Lescure..

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